Ar Men signifie "la pierre".
On trouve dans les Alpes des toponymes dont la consonance évoque celle-ci :
la pointe d'Armenaz (massif des Bauges), la Punta d'Armena (Dolomites), dont le profil monolithique correspondrait assez bien au statut de repère sans équivalent, matérialisé en l'occurence chez le phare d'Ar Men, construit de main d'homme...
Gaulois = Breton...?
Ar Men signifie "la pierre".
On trouve dans les Alpes des toponymes dont la consonance évoque celle-ci :
la pointe d'Armenaz (massif des Bauges), la Punta d'Armena (Dolomites), dont le profil monolithique correspondrait assez bien au statut de repère sans équivalent, matérialisé en l'occurence chez le phare d'Ar Men, construit de main d'homme...
Ar Men, c'est une légende se superposant à l'histoire et à la stricte valeur d'usage d'un repère pour les marins ; souvent, lorsqu'on pense "phare", Ar Men vient à l'esprit immédiatement, plus aisément que bien d'autres qui n'ont pas grand chose à lui envier à part l'éloignement (La Jument, Keréon...), sans doute en raison de l'euphonie de son nom qui sonne comme une grosse lame frappant le rocher où il se dresse, parfaite adéquation du concept et de la réalité, et pas uniquement dans l'opinion des Bretons. Sa construction, son exploitation, ses vicissitudes, en ont fait une métaphore du courage et de l'endurance. Son histoire est abondamment illustrée par le livre et internet.
Tour cylindrique à base grise, partie médiane blanche, sommet noir.3 éclats blancs toutes les 20 secondes. Portée 23 miles nautiques.Le nom du phare est peint en noir sur le fût.
Le cliché est pris depuis l'île de Sein : on voit Ar Men sur la d. à l'horizon, avec une visibilité exceptionnelle ce jour-là !
Ar Men, c'est une légende se superposant à l'histoire et à la stricte valeur d'usage d'un repère pour les marins ; souvent, lorsqu'on pense "phare", Ar Men vient à l'esprit immédiatement, plus aisément que bien d'autres qui n'ont pas grand chose à lui envier à part l'éloignement (La Jument, Keréon...), sans doute en raison de l'euphonie de son nom qui sonne comme une grosse lame frappant le rocher où il se dresse, parfaite adéquation du concept et de la réalité, et pas uniquement dans l'opinion des Bretons. Sa construction, son exploitation, ses vicissitudes, en ont fait une métaphore du courage et de l'endurance. Son histoire est abondamment illustrée par le livre et internet.
Tour cylindrique à base grise, partie médiane blanche, sommet noir.3 éclats blancs toutes les 20 secondes. Portée 23 miles nautiques.Le nom du phare est peint en noir sur le fût.
Le cliché est pris depuis l'île de Sein : on voit Ar Men sur la d. à l'horizon, avec une visibilité exceptionnelle ce jour-là !