Rue Georges Blanc

[mauguier]

Croisement délicat !

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Dans le vieil Arles du XVe siècle on la signale comme rue d'Alamanon, ou de la Porte d'Alamanon. (noble local). Aussi rue du Portalet de Palhade (négociants ?).
En 1643 rue de M. d'Aiguières (autre famille noble)
En 1683 rue de M. de Varadier.
En 1780 rue du Santibelli (surnom d'un Antoine Reynaut).
En 1791 rue de la Poste.
En 1826 rue du Bouillon (lieu où on distribuait du bouillon aux convalescents peu fortunés).
En 1910 rue Georges Blanc, employé aux PLM et sapeur-pompier de 35 ans, écrasé par une pierre se 80 kg suite à un incendie.