La ligne de Paris-Bastille à Marles-en-Brie, également connue sous le nom de ligne de la Bastille, ligne de Vincennes ou ligne V, est une ligne de chemin de fer française, de l'ancien réseau Est, d'une longueur de 66,3 kilomètres, qui reliait à son apogée la gare de Paris-Bastille, à Paris, à la gare de Marles-en-Brie via Verneuil-l'Étang.
La traction vapeur à perduré jusqu'en 1969 date à laquelle la ligne à laissé la place au tronçon de RER A nation - Boissy Saint Léger.
Le dépôt vapeur à laissé la place à l'espace culturel Baltard.
La place étant limitée dans Paris intra-muros, le dépôt de locomotives desservant l'extrémité parisienne se situait à Nogent sur Marne.
Combien avons nous usé de culottes courtes sur ce pont qui enjambait magnifiquement le dépôt !
La ligne de Paris-Bastille à Marles-en-Brie, également connue sous le nom de ligne de la Bastille, ligne de Vincennes ou ligne V, est une ligne de chemin de fer française, de l'ancien réseau Est, d'une longueur de 66,3 kilomètres, qui reliait à son apogée la gare de Paris-Bastille, à Paris, à la gare de Marles-en-Brie via Verneuil-l'Étang.
La traction vapeur à perduré jusqu'en 1969 date à laquelle la ligne à laissé la place au tronçon de RER A nation - Boissy Saint Léger.
Le dépôt vapeur à laissé la place à l'espace culturel Baltard.
La place étant limitée dans Paris intra-muros, le dépôt de locomotives desservant l'extrémité parisienne se situait à Nogent sur Marne.
Combien avons nous usé de culottes courtes sur ce pont qui enjambait magnifiquement le dépôt !
Ah...!! Que de souvenirs ! Un peu en aval de ce dépôt existaient une série de machines déclassées (endommagées par la guerre ?), et placées juste au bord du talus dominant ce qui doit être aujourd'hui l'allée Labarbe. A l'époque (1949 - 1953) nulle construction, nulle végétation (à part quelques arbres à l'extérieur du dépôt). Nous habitions l'Île de Beauté.
Donc, dès la sortie de l'école communale que tu connais bien, au lieu de rentrer sagement à la maison, une bande de vauriens allait déposer ses cartables chez un copain habitant l'avenue Charles V et prenait d'assaut ledit talus afin "d'attaquer" le convoi de vieilles machines (sûrement des 131TB)...et vas-y que je te grimpe dans les cabines de chauffeurs, que je te rampe le long des chaudières, que je me planque ici ou là, le tout en poussant des cris de guerriers victorieux qui saluaient de pieds de nez et autres grimaces les convois passant sur le faisceau de voies actives, dont les voyageurs ne pouvaient rien ignorer de nos facéties...On rentrait parfois à nuit presque tombée...avec les devoirs à faire et les parents à affronter : ambiance..........
Ah...!! Que de souvenirs ! Un peu en aval de ce dépôt existaient une série de machines déclassées (endommagées par la guerre ?), et placées juste au bord du talus dominant ce qui doit être aujourd'hui l'allée Labarbe. A l'époque (1949 - 1953) nulle construction, nulle végétation (à part quelques arbres à l'extérieur du dépôt). Nous habitions l'Île de Beauté.
Donc, dès la sortie de l'école communale que tu connais bien, au lieu de rentrer sagement à la maison, une bande de vauriens allait déposer ses cartables chez un copain habitant l'avenue Charles V et prenait d'assaut ledit talus afin "d'attaquer" le convoi de vieilles machines (sûrement des 131TB)...et vas-y que je te grimpe dans les cabines de chauffeurs, que je te rampe le long des chaudières, que je me planque ici ou là, le tout en poussant des cris de guerriers victorieux qui saluaient de pieds de nez et autres grimaces les convois passant sur le faisceau de voies actives, dont les voyageurs ne pouvaient rien ignorer de nos facéties...On rentrait parfois à nuit presque tombée...avec les devoirs à faire et les parents à affronter : ambiance..........
Je n'ai pas souvenir de ces carcasses.
Il faut dire que j'habitais sur le haut de Nogent, près du fort et que je ne m'aventurais par là que quand nous allions en famille au bois de Vincennes
Je n'ai pas souvenir de ces carcasses.
Il faut dire que j'habitais sur le haut de Nogent, près du fort et que je ne m'aventurais par là que quand nous allions en famille au bois de Vincennes