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Dans l'interminable vallée du Ribon, strictement interdite aux véhicules n'appartenant pas aux riverains, aucun refuge ne vient couper les approches aux sommets environnants. Il se trouvait jadis un ou deux chalets en bon état mais guère plus utilisés par les alpagistes, et qui demeuraient ouverts pour les montagnards de passage : aucun équipement, mais un abri bienvenu - on en trouvera un témoignage sur cette page. Tous les bâtiments sont désormais fermés et il faudra se résoudre à bivouaquer dans les environs, non sans avoir au moins annoncé sa présence aux résidents.
Un cliché vespéral, avant de trouver abri dans un des chalets ouverts à l'époque, précédant la journée de repos du lendemain.

Le chalet ouvert à l'époque, qui offrait un abri sans chauffage... mais avec un ancien lit clos garni de paille.

Le vieux lit clos, photographié sans flash, mais où on peut distinguer deux niveaux, le plus haut fermé avec des panneaux coulissants.

Coup d'oeil vers l'aval, depuis le chalet-abri.

Vers l'amont, la grande cascade issue du glacier de Rochemelon dont on entrevoit à peine la surface de la langue terminale.