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On pourrait aussi bien nommer ce coin "la caillasse", et c'est peut-être ce à quoi pensaient ceux qui ont baptisé le Rocher de la Cailla qu'on contourne par le N sur un petit sentier montant des chalets de l'Arcelle Neuve, où l'hébergement n'est guère prouvé quoi qu'en ait dit la littérature alpine de jadis (à la rigueur en été lorsque les alpagiste y sont...?). Ce coin de moraines est en tout cas le seul qui offre à la fois un gain d'altitude satisfaisant et une inclinaison assez faible pour qu'on y installe un bivouac. La zone est assez vaste néanmoins et les coordonnées sont une moyenne, dans laquelle on se choisira le point de chute idéal. Il faudra toutefois un minimum d'aménagements si on ne veut pas dormir à la manière d'un fakir. Un cliché d'ambiance, tourné vers l'arête sommitale de la Pte de Ronce.

Travaux publics...

Les finitions, après lesquelles le résultat sera à la hauteur des espérances : du matériau fin pour le sol (pratiquement horizontal !) et des ancrages à peu près fiables...Et heureusement qu'il reste de la neige sur le glacier à proximité, sinon, pas une goutte d'eau.

Depuis l'arête de la Pte de Ronce, une vue plongeante sur le Signal du Grand Mont Cenis (sommet de g) et la zone de bivouac, où la tente se distingue sous la flèche. Au 1er plan le glacier O de l'Arcelle, suivi plus loin par le glacier N du Signal.

Juste avant le contournement à la descente des rochers de la Cailla, avant de basculer vers les pentes dominant les chalets de l'Arcelle Neuve. Au fond à g le Signal du Petit Mont Cenis.