Comme c'est un peu plus haut que les Michelettes, le brouillard est plus épais, et ça va croître et embellir toute la journée. Un brouillard givrant, glacial, qui rampe de bas en haut comme de gros reptiles argentés et livides, porté par un petit vent incessant.
Il y a une réserve de bois, mais il faut le couper (outils en place) ; comme la dite réserve mérite qu'on ne la consomme pas avant le vrai hiver, on peut aller récolter des branches mortes d'arcosses se trouvant un peu plus bas le long du sentier. Il y en a aussi un peu plus haut, mais ça je ne l'ai découvert que ce matin, le brouillard ayant disparu. Les sentiers, notamment celui qui passe par "la Jasse" (n'existe plus) et se raccordant à la route forestière de La Thuile, ne sont pas balisés et il faut naviguer, lorsqu'il y a incertitude (traversée de zones à fangasses, vieilles estives à végétation nitrophile, etc.) avec carte + alti (ou GPS) lorsque la visibilité est très mauvaise.
Comme c'est un peu plus haut que les Michelettes, le brouillard est plus épais, et ça va croître et embellir toute la journée. Un brouillard givrant, glacial, qui rampe de bas en haut comme de gros reptiles argentés et livides, porté par un petit vent incessant.
Il y a une réserve de bois, mais il faut le couper (outils en place) ; comme la dite réserve mérite qu'on ne la consomme pas avant le vrai hiver, on peut aller récolter des branches mortes d'arcosses se trouvant un peu plus bas le long du sentier. Il y en a aussi un peu plus haut, mais ça je ne l'ai découvert que ce matin, le brouillard ayant disparu. Les sentiers, notamment celui qui passe par "la Jasse" (n'existe plus) et se raccordant à la route forestière de La Thuile, ne sont pas balisés et il faut naviguer, lorsqu'il y a incertitude (traversée de zones à fangasses, vieilles estives à végétation nitrophile, etc.) avec carte + alti (ou GPS) lorsque la visibilité est très mauvaise.
Le poêle tire bien, même s'il affiche son âge. Pelle, balai, le nécessaire voire même le superflu. Le petit ruisseau qu'on traverse depuis le sentier, 15 m avant d'entrer dans la cabane, donnait bien. On devrait avoir une jolie vue sur le massif des Bauges...patience !
Le salon-salle à manger
Le poêle tire bien, même s'il affiche son âge. Pelle, balai, le nécessaire voire même le superflu. Le petit ruisseau qu'on traverse depuis le sentier, 15 m avant d'entrer dans la cabane, donnait bien. On devrait avoir une jolie vue sur le massif des Bauges...patience !
En soupente, avec deux grands matelas (des vrais, bien lourds) + un petit (en mousse). Le seul "hic" de la situation est représenté :
1 - par la taille de l'ouverture laissant le passage à l'escalier,
2 - par le fait qu'à la base du toit, là où les chevrons disparaissent derrière ce qui devrait être une planche de garde hermétique, les jours laissés entre ces différents éléments suffisent à évacuer vers l'extérieur toute la chaleur montante que le poêle s'évertue à fournir...
C'était plus glacial qu'au bivouac de Licony !!! Et je pèse mes mots.
Remède, si on est seul : descendre le petit matelas mousse, riper ensuite les gros par dessus l'ouverture menant à la soupente, afin de stocker la chaleur en bas.
Les couchages
En soupente, avec deux grands matelas (des vrais, bien lourds) + un petit (en mousse). Le seul "hic" de la situation est représenté :
1 - par la taille de l'ouverture laissant le passage à l'escalier,
2 - par le fait qu'à la base du toit, là où les chevrons disparaissent derrière ce qui devrait être une planche de garde hermétique, les jours laissés entre ces différents éléments suffisent à évacuer vers l'extérieur toute la chaleur montante que le poêle s'évertue à fournir...
C'était plus glacial qu'au bivouac de Licony !!! Et je pèse mes mots.
Remède, si on est seul : descendre le petit matelas mousse, riper ensuite les gros par dessus l'ouverture menant à la soupente, afin de stocker la chaleur en bas.