Principal point de passage (en été) entre la partie centrale du massif (Valfurva) et le secteur méridional. La route (Nationale 300) qui le traverse est en fait un ancien tracé militaire datant de 1914-1918 et qu'on a fini par goudronner vers la fin du XXe siècle, sans toutefois l'élargir : à parcourir avec prudence et lenteur ; la partie S est bien plus raide. Ici à peu près au centre d du cliché pris en montant au Mt Confinale, donc exposant la partie N.
Principal point de passage (en été) entre la partie centrale du massif (Valfurva) et le secteur méridional. La route (Nationale 300) qui le traverse est en fait un ancien tracé militaire datant de 1914-1918 et qu'on a fini par goudronner vers la fin du XXe siècle, sans toutefois l'élargir : à parcourir avec prudence et lenteur ; la partie S est bien plus raide. Ici à peu près au centre d du cliché pris en montant au Mt Confinale, donc exposant la partie N.
Le 23 septembre 1973, un Parisien alpiniste et son copain de cordée redescendaient du refuge Berni (viewtopic.php?t=3445) où ils avaient passé la nuit dans l'espoir d'effectuer une course dans le secteur...mais une chute de neige inattendue (grand beau la veille) les contraignait donc à redescendre. Mais le véhicule (Simca 1100 S) n'avait pas de pneu neige et pas de chaînes dans le coffre !
Un virage allait expédier la voiture et ses occupants en vol plané (heu...en tonneaux) dans le vide. Une terrasse de rocailles providentielle arrêta le véhicule dans sa chute, ce qui fait que je puis aujourd'hui rédiger cette chronique.
Ce fut une année maudite pour un tas (trois) d'autres raisons dont une fracture de la cheville et une hépatite virale.
Détail : je suis rentré à Paris avec cette voiture, grâce à un garagiste aux mains d'or qui la conserva quinze jours dans son atelier après être allé la récupérer avec son GMC de dépannage dûment équipé (ce n'était pas la première) !
P.S. J'étais assuré "tous risques"
Cinquantenaire !
Le 23 septembre 1973, un Parisien alpiniste et son copain de cordée redescendaient du refuge Berni (viewtopic.php?t=3445) où ils avaient passé la nuit dans l'espoir d'effectuer une course dans le secteur...mais une chute de neige inattendue (grand beau la veille) les contraignait donc à redescendre. Mais le véhicule (Simca 1100 S) n'avait pas de pneu neige et pas de chaînes dans le coffre !
Un virage allait expédier la voiture et ses occupants en vol plané (heu...en tonneaux) dans le vide. Une terrasse de rocailles providentielle arrêta le véhicule dans sa chute, ce qui fait que je puis aujourd'hui rédiger cette chronique.
Ce fut une année maudite pour un tas (trois) d'autres raisons dont une fracture de la cheville et une hépatite virale.
Détail : je suis rentré à Paris avec cette voiture, grâce à un garagiste aux mains d'or qui la conserva quinze jours dans son atelier après être allé la récupérer avec son GMC de dépannage dûment équipé (ce n'était pas la première) !