L'un des plus célèbres belvédères de la région sur les massifs environnants. La toponymie de ce haut plateau ponctué de buttes herbeuses et totalement dépourvu d'arbres a été longtemps erratique. On l'a appelé "plateau de Paris", puis "Emparis", les topographes étant restés sourds aux explications étymologiques qu'un peu de curiosité pour les dialectes leur auraient permis de découvrir. "En pareis", dit-on en patois (franco-provençal) local, c'est à dire "vers les parois", "devant les parois", lesquels ne sont que l'abyssale muraille qui borde le plateau sur son versant sud sur 10 km et qui forme la rive gauche de la Romanche. Je m'attendais à trouver des foules, tant le GR 54 "Tour de l'Oisans" est connu, surtout par grand beau temps. Mais il semble bien que la fréquentation d'Emparis soit surtout assurée par les moutons, dont j'ai pu voir deux beaux troupeaux.
Le cairn du point culminant (on ne peut pas appeler ces mottes "sommets"), vu en approche depuis l'O.
L'un des plus célèbres belvédères de la région sur les massifs environnants. La toponymie de ce haut plateau ponctué de buttes herbeuses et totalement dépourvu d'arbres a été longtemps erratique. On l'a appelé "plateau de Paris", puis "Emparis", les topographes étant restés sourds aux explications étymologiques qu'un peu de curiosité pour les dialectes leur auraient permis de découvrir. "En pareis", dit-on en patois (franco-provençal) local, c'est à dire "vers les parois", "devant les parois", lesquels ne sont que l'abyssale muraille qui borde le plateau sur son versant sud sur 10 km et qui forme la rive gauche de la Romanche. Je m'attendais à trouver des foules, tant le GR 54 "Tour de l'Oisans" est connu, surtout par grand beau temps. Mais il semble bien que la fréquentation d'Emparis soit surtout assurée par les moutons, dont j'ai pu voir deux beaux troupeaux.
Le cairn du point culminant (on ne peut pas appeler ces mottes "sommets"), vu en approche depuis l'O.