Le port de Roscoff occupe une baie ouverte vers le N. Il est délimité à g par une longue digue qui sert aussi d'accès et d'apontage pour les liaisons avec l'île de Batz à marée basse, le mouillage normal se trouvant alors hors d'eau. D'autres digues le subdivisent en fonction des activités de pêche et de plaisance. Une autre digue le sépare à l'E d'une dernière anse inabordable aux bateaux, tandis que la gare matitime transmanche occupe pour sa part le flanc E de la péninsule occupée par Roscoff.
Une vue sur les bateaux de travail à quai.
Le port de Roscoff occupe une baie ouverte vers le N. Il est délimité à g par une longue digue qui sert aussi d'accès et d'apontage pour les liaisons avec l'île de Batz à marée basse, le mouillage normal se trouvant alors hors d'eau. D'autres digues le subdivisent en fonction des activités de pêche et de plaisance. Une autre digue le sépare à l'E d'une dernière anse inabordable aux bateaux, tandis que la gare matitime transmanche occupe pour sa part le flanc E de la péninsule occupée par Roscoff.
Une vue sur les bateaux de travail à quai.
La plaisance dans la vase. Je saisis l'occasion pour remarquer qu'au fur et à mesure de nos pérégrinations le long de l'espace maritime français et quoique ne connaissant pas les statistiques à ce sujet, on remarque qu'au moins 95% des embarcations au mouillage ne doivent le quitter au mieux qu'un mois par an et encore de manière ponctuelle... Le bateau c'est un peu comme la cheminée chez certains, laquelle sert surtout à "faire joli" ou impressionner les connaissances (histoire de "standing") et non à se chauffer (d'ailleurs le plafond reste immaculé) ; ainsi les carcasses qui tanguent au gré des marées ne risquent pas leur coque tout en jouant leur rôle de "prestige" personnel.
La plaisance dans la vase. Je saisis l'occasion pour remarquer qu'au fur et à mesure de nos pérégrinations le long de l'espace maritime français et quoique ne connaissant pas les statistiques à ce sujet, on remarque qu'au moins 95% des embarcations au mouillage ne doivent le quitter au mieux qu'un mois par an et encore de manière ponctuelle... Le bateau c'est un peu comme la cheminée chez certains, laquelle sert surtout à "faire joli" ou impressionner les connaissances (histoire de "standing") et non à se chauffer (d'ailleurs le plafond reste immaculé) ; ainsi les carcasses qui tanguent au gré des marées ne risquent pas leur coque tout en jouant leur rôle de "prestige" personnel.