En 1935, le maire de Capoulet-et-Junac, Paul Voivenel, demanda à la veuve de son ami Antoine Bourdelle (décédé en 1929) l'autorisation de reproduire une œuvre afin de réaliser le monument aux morts de sa commune. Il choisit une sculpture prévue initialement pour être incorporée au monument de Montauban. C'est le fondeur Rudier qui coula le bronze1.
En 1935, le maire de Capoulet-et-Junac, Paul Voivenel, demanda à la veuve de son ami Antoine Bourdelle (décédé en 1929) l'autorisation de reproduire une œuvre afin de réaliser le monument aux morts de sa commune. Il choisit une sculpture prévue initialement pour être incorporée au monument de Montauban. C'est le fondeur Rudier qui coula le bronze1.
Ces trois figures ont été exposées en 1899 sous le titre de La Guerre, les figures hurlantes. Elles représentent la peur, la souffrance et la mort. Elles ont été créées dans le cadre du projet du Monument aux Morts de Montauban de 1870 (1894 - 1902). Finalement, non utilisées dans le monument de Montauban, cette sculpture connut une existence indépendante.
Ces trois figures ont été exposées en 1899 sous le titre de La Guerre, les figures hurlantes. Elles représentent la peur, la souffrance et la mort. Elles ont été créées dans le cadre du projet du Monument aux Morts de Montauban de 1870 (1894 - 1902). Finalement, non utilisées dans le monument de Montauban, cette sculpture connut une existence indépendante.
Parmi la foule venue inaugurer le monument, ce 17 novembre 1935, on peut remarquer celui qui allait devenir le maréchal Pétain, mais aussi le capitaine Victor Rouanet, mon grand père maternel entouré de toute sa petite famille y compris Elisabeth Rouanet (9 ans), ma mère, qui se rappelle fort bien cet évènement.
Parmi la foule venue inaugurer le monument, ce 17 novembre 1935, on peut remarquer celui qui allait devenir le maréchal Pétain, mais aussi le capitaine Victor Rouanet, mon grand père maternel entouré de toute sa petite famille y compris Elisabeth Rouanet (9 ans), ma mère, qui se rappelle fort bien cet évènement.
Revenue sur les lieux 81 ans plus tard, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir le premier des noms prestigieux.
Ce fait avait alors échappé à la sagacité familiale puisque le nom de mon futur père était alors, pour 17 ans encore, inconnu de cette branche de la famille.
J'ignore du reste si d'éventuels liens familiaux nous relient à cet infortuné.
Revenue sur les lieux 81 ans plus tard, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir le premier des noms prestigieux.
Ce fait avait alors échappé à la sagacité familiale puisque le nom de mon futur père était alors, pour 17 ans encore, inconnu de cette branche de la famille.
J'ignore du reste si d'éventuels liens familiaux nous relient à cet infortuné.