150 m de dénivelé + les ouvrages hauts du château avec + et -, on en a pour 200 m de positifs mine de rien. Reste à le faire avec sac à dos (complété avec confit de canard et rillettes du même)
150 m de dénivelé + les ouvrages hauts du château avec + et -, on en a pour 200 m de positifs mine de rien. Reste à le faire avec sac à dos (complété avec confit de canard et rillettes du même)
Echappée vers la vallée. Comme, tout à la fois, il neige sur le Massif Central MAIS que la neige fond dans les intervalles, les fleuves sont sur le point de déborder.
Echappée vers la vallée. Comme, tout à la fois, il neige sur le Massif Central MAIS que la neige fond dans les intervalles, les fleuves sont sur le point de déborder.
Comme l'époque n'était pas à la flânerie et au farniente, les médiévaux, même placés hors ou en bordure du château, prenaient leurs précautions avec divers ouvrages, surtout "hors les murs" de la ville haute.
On remarque que les marches ne permettent que les véhicules
- étroits
- chenillés
- articulés
lesquels portent le nom de "jambes".
Comme l'époque n'était pas à la flânerie et au farniente, les médiévaux, même placés hors ou en bordure du château, prenaient leurs précautions avec divers ouvrages, surtout "hors les murs" de la ville haute.
On remarque que les marches ne permettent que les véhicules
- étroits
- chenillés
- articulés
lesquels portent le nom de "jambes".
Village remontant à Dieu sait quand (néolithique-bronze), à la fois refuge défensif et lieu de transit grâce à la Dordogne. On l'assimile d'ordinaire au Moyen-Âge en raison de la présence écrasante du château qui doit à cette période l'essentiel de son aspect.
Le quartier du "port", qui vit le passage des gabarres, laisse la vedette aux "barris" des pentes, desservis par des venelles tout à fait adaptées aux habitués de l'alpinisme et de la rando en montagne ; en l'abordant par le SO, on plaint les mamies et les déménageurs, mais comme la moitié des habitations est constituée de résidences secondaires...Des chemins carrossables existent au N et à l'E qui permettent le ravitaillement des populations qui jouissent de vues superbes et d'une tranquillité exemplaire (sans doute moins au mois d'août) et qu'on se prend à envier tant tout ce coin respire l'envie de bien vivre : des gens qui cultivent la graisse de canard, le confit d'oie, les vins de Bergerac et autres péchés gagnent à être pris pour exemples.
Petite promenade impromptue un jour où il ne pleuvait pas.
Village remontant à Dieu sait quand (néolithique-bronze), à la fois refuge défensif et lieu de transit grâce à la Dordogne. On l'assimile d'ordinaire au Moyen-Âge en raison de la présence écrasante du château qui doit à cette période l'essentiel de son aspect.
Le quartier du "port", qui vit le passage des gabarres, laisse la vedette aux "barris" des pentes, desservis par des venelles tout à fait adaptées aux habitués de l'alpinisme et de la rando en montagne ; en l'abordant par le SO, on plaint les mamies et les déménageurs, mais comme la moitié des habitations est constituée de résidences secondaires...Des chemins carrossables existent au N et à l'E qui permettent le ravitaillement des populations qui jouissent de vues superbes et d'une tranquillité exemplaire (sans doute moins au mois d'août) et qu'on se prend à envier tant tout ce coin respire l'envie de bien vivre : des gens qui cultivent la graisse de canard, le confit d'oie, les vins de Bergerac et autres péchés gagnent à être pris pour exemples.
Petite promenade impromptue un jour où il ne pleuvait pas.