Permet de passer du val d'Ainan (N) au vallon de St Nicolas de Macherin (S). "Passer" est un bien grand mot et on se demande vraiment comment une charette pourrait s'y rendre, sinon tractée par des engins de débardage, le long d'un petit sentier d'une part, de traces inexistantes d'autre part, tout au moins aux abords du col. Une trace parcourt néanmoins les lignes de crête et c'est peut-être le meilleur moyen de visiter ce col, où passent en un an 3 lapins, autant de chiens accompagnés d'autant de maîtres, et 3 randonneurs pour finir. Il faut remarquer enfin que les cartes IGN doivent représenter le terrain tel qu'il se présentait sous les Mérovingiens, tout au moins pour la voirie et spécialement sur le versant Massieu. Le grand sapin de la photo occupe en gros l'emplacement du col, ici aux abords du versant ensoleillé.
Permet de passer du val d'Ainan (N) au vallon de St Nicolas de Macherin (S). "Passer" est un bien grand mot et on se demande vraiment comment une charette pourrait s'y rendre, sinon tractée par des engins de débardage, le long d'un petit sentier d'une part, de traces inexistantes d'autre part, tout au moins aux abords du col. Une trace parcourt néanmoins les lignes de crête et c'est peut-être le meilleur moyen de visiter ce col, où passent en un an 3 lapins, autant de chiens accompagnés d'autant de maîtres, et 3 randonneurs pour finir. Il faut remarquer enfin que les cartes IGN doivent représenter le terrain tel qu'il se présentait sous les Mérovingiens, tout au moins pour la voirie et spécialement sur le versant Massieu. Le grand sapin de la photo occupe en gros l'emplacement du col, ici aux abords du versant ensoleillé.
Le gros sapin couvert de lierre qu'on voit sur la première photo à gauche du grand épicéa a fini par s'écrouler sous les coups des tempêtes successives...
Le gros sapin couvert de lierre qu'on voit sur la première photo à gauche du grand épicéa a fini par s'écrouler sous les coups des tempêtes successives...