On tenta jadis d'émettre des signaux sonores grâce à un système de cornes acoustiques actionnées par un manège... qui périclita du fait du caractère aléatoire de la "main d'oeuvre" chevaline préposée au boulot. On s'en tint donc par la suite aux signaux acoustiques classiques, jusqu'à l'invention du radar, puis du GPS, lesquels n'ont jamais supprimé les naufrages d'ailleurs, si l'équipage et le commandant sont ivres ou incompétents, ce qui a tendance à se produire de plus en plus.
Le mécanisme était donc actionné par un manège (sur le mode des norias) tracté par des chevaux recrutés localement... qui firent défaut et parce qu'ils étaient cédés avec réticence par leurs propriétaires, qui n'en avaient généralement qu'un et de petite taille de surcroit (race locale adaptée au vent et au terrain), et parce que leur rythme et leur rendement ne risquaient pas de rivaliser avec un Comtois ou un Percheron. Je crois qu'on a utilisé la vapeur ensuite, mais de toute manière la chose aurait enchanté le professeur Nimbus.
Les Ouessantais, qui ne pouvaient guère, tout de même, labourer leurs maigres parcelles avec des moutons ou des poules attelées, voire eux-mêmes, récupérèrent leurs chevaux avec soulagement.
On tenta jadis d'émettre des signaux sonores grâce à un système de cornes acoustiques actionnées par un manège... qui périclita du fait du caractère aléatoire de la "main d'oeuvre" chevaline préposée au boulot. On s'en tint donc par la suite aux signaux acoustiques classiques, jusqu'à l'invention du radar, puis du GPS, lesquels n'ont jamais supprimé les naufrages d'ailleurs, si l'équipage et le commandant sont ivres ou incompétents, ce qui a tendance à se produire de plus en plus.
Le mécanisme était donc actionné par un manège (sur le mode des norias) tracté par des chevaux recrutés localement... qui firent défaut et parce qu'ils étaient cédés avec réticence par leurs propriétaires, qui n'en avaient généralement qu'un et de petite taille de surcroit (race locale adaptée au vent et au terrain), et parce que leur rythme et leur rendement ne risquaient pas de rivaliser avec un Comtois ou un Percheron. Je crois qu'on a utilisé la vapeur ensuite, mais de toute manière la chose aurait enchanté le professeur Nimbus.
Les Ouessantais, qui ne pouvaient guère, tout de même, labourer leurs maigres parcelles avec des moutons ou des poules attelées, voire eux-mêmes, récupérèrent leurs chevaux avec soulagement.
