Le glacier de l'Homme, rayant le versant S du Pelvoux, est un débordement de la calotte sommitale (glacier du Pelvoux), par laquelle dévalent de temps à autre séracs ou "pianos". En 1980, il fallait encore lui monter sur le dos en zigzaguant entre les bosses de glace (à la frontale c'est du plus haut comique...) et en courant , puisque c'était l'unique moyen de gagner son autre rive afin de rejoindre le couloir Coolidge ou les Rochers Rouges ! En 1990 il avait déjà considérablement reculé et on n'avait plus à traverser que des névés, mais toujours en vitesse, puisque le danger existe toujours, à preuve les blocs de glace qu'on distingue bien sur la photo au pied de la paroi de droite. Un vague nuage parasite ôte de sa netteté au cliché. Vue prise depuis la croupe d'éboulis montant du refuge.
Le glacier de l'Homme, rayant le versant S du Pelvoux, est un débordement de la calotte sommitale (glacier du Pelvoux), par laquelle dévalent de temps à autre séracs ou "pianos". En 1980, il fallait encore lui monter sur le dos en zigzaguant entre les bosses de glace (à la frontale c'est du plus haut comique...) et en courant , puisque c'était l'unique moyen de gagner son autre rive afin de rejoindre le couloir Coolidge ou les Rochers Rouges ! En 1990 il avait déjà considérablement reculé et on n'avait plus à traverser que des névés, mais toujours en vitesse, puisque le danger existe toujours, à preuve les blocs de glace qu'on distingue bien sur la photo au pied de la paroi de droite. Un vague nuage parasite ôte de sa netteté au cliché. Vue prise depuis la croupe d'éboulis montant du refuge.
La combe de l'Ouro, qui vient buter contre la barre rocheuse au sommet de laquelle se tient, en retrait, le refuge du Sélé. Cliché pris au niveau de la bifurcation de sentiers Sélé/Pelvoux.
La combe de l'Ouro, qui vient buter contre la barre rocheuse au sommet de laquelle se tient, en retrait, le refuge du Sélé. Cliché pris au niveau de la bifurcation de sentiers Sélé/Pelvoux.