Un des grands sommets frontaliers en Vanoise, à un détail près : il est entièrement en Italie, avec une arête NO d'environ 1 km qui se rattache à la frontière et à la ligne de partage des eaux au point 3489 m. Ce "détail" fait que les accès habituels se situent du côté Piémontais, alors que de France (du ref des Evettes) on a une course glaciaire qui porte soit au col Tonini, soit à la Petite Ciamarelle ("petite" de 3534 m) qu'il faut alors traverser, donc bien moins commode. La VN part du refuge Gastaldi, remonte des croupes morainiques, traverse le glacier de la ciamarelle (assez inoffensif), puis le flanc détritique SO, pour déboucher sur l'arête sommitale et le sommet proche. La photo montre une infime partie du bazar métallique qui y est déposé (buste, plaques, ex-votos, croix, etc. etc.)... mais nous sommes en Italie, pays fétichiste s'il en est.
Un des grands sommets frontaliers en Vanoise, à un détail près : il est entièrement en Italie, avec une arête NO d'environ 1 km qui se rattache à la frontière et à la ligne de partage des eaux au point 3489 m. Ce "détail" fait que les accès habituels se situent du côté Piémontais, alors que de France (du ref des Evettes) on a une course glaciaire qui porte soit au col Tonini, soit à la Petite Ciamarelle ("petite" de 3534 m) qu'il faut alors traverser, donc bien moins commode. La VN part du refuge Gastaldi, remonte des croupes morainiques, traverse le glacier de la ciamarelle (assez inoffensif), puis le flanc détritique SO, pour déboucher sur l'arête sommitale et le sommet proche. La photo montre une infime partie du bazar métallique qui y est déposé (buste, plaques, ex-votos, croix, etc. etc.)... mais nous sommes en Italie, pays fétichiste s'il en est.
La piste remontant N du refuge vers le glacier qu'on aperçoit, dominé par la Petite Ciamarella (la Grande est à d en grande partie cachée). Tous les clichés de l'itinéraire ont été pris à la descente. Les ruines qu'on aperçoit à g appartiennent à d'anciens bâtiments militaires.
La piste remontant N du refuge vers le glacier qu'on aperçoit, dominé par la Petite Ciamarella (la Grande est à d en grande partie cachée). Tous les clichés de l'itinéraire ont été pris à la descente. Les ruines qu'on aperçoit à g appartiennent à d'anciens bâtiments militaires.
Le versant SO, qu'il faut remonter en écharpe vers la g, puis obliquer presque en haut vers la d. Auparavant, on effectue un large détour circulaire sur le glacier, au mieux des conditions du moment.
Le versant SO, qu'il faut remonter en écharpe vers la g, puis obliquer presque en haut vers la d. Auparavant, on effectue un large détour circulaire sur le glacier, au mieux des conditions du moment.
La combe et le glacier, où se déroule la première partie de l'itinéraire de montée, puis la pente de débris du flanc SO, vus au moment de rejoindre l'arête finale. Une course "pépère" donc en conclusion.
La combe et le glacier, où se déroule la première partie de l'itinéraire de montée, puis la pente de débris du flanc SO, vus au moment de rejoindre l'arête finale. Une course "pépère" donc en conclusion.
Le tas de cailloux "annexe" à 3 m du sommet, avec vue vers le N. Une cordée de trois Français arrivés depuis les Evettes se repose un peu plus loin à d sur la neige (4 personnes en tout un mois d'août...!)
Le tas de cailloux "annexe" à 3 m du sommet, avec vue vers le N. Une cordée de trois Français arrivés depuis les Evettes se repose un peu plus loin à d sur la neige (4 personnes en tout un mois d'août...!)